Le recours aux médecines douces s’est banalisé. Ostéopathie pour les douleurs lombaires, sophrologie face à l’anxiété, acupuncture en soutien d’un sevrage… Ces pratiques s’invitent dans la routine de nombreux agents territoriaux. Non comme une alternative radicale, mais comme un complément précieux à la médecine classique, lorsque celle-ci ne suffit plus ou ne suffit pas seule.
Prévention, relaxation, soulagement des tensions : les bénéfices sont réels, même s’ils échappent encore au remboursement de la Sécurité sociale. Le vide est comblé ailleurs, notamment du côté des mutuelles santé, qui adaptent peu à peu leurs offres à ces usages.
Dans ce contexte, des contrats comme Mutame Atout Santé Plus permettent désormais de prendre en charge, au moins partiellement, des soins longtemps jugés secondaires. Encore faut-il comprendre :
- quelles disciplines sont concernées ?
- dans quelles limites les remboursements s’appliquent ?
- et surtout comment les obtenir ?
Intégrer des médecines douces dans sa complémentaire santé, c’est possible, à condition de choisir un contrat adapté et de savoir le décrypter.
Pourquoi les médecines douces attirent de plus en plus d’adhérents ?
Ce qui relevait hier du marginal devient aujourd’hui courant. Longtemps reléguées aux marges du système de soins, les pratiques complémentaires séduisent un public de plus en plus large.
Chez les agents territoriaux, ce glissement n’est pas une mode, mais une forme de réponse à des situations concrètes : douleurs chroniques, troubles musculo-squelettiques, surcharge mentale. Autant de réalités qui appellent des solutions durables, pas seulement médicamenteuses.
Parmi les disciplines les plus fréquentes, on retient :
- l’ostéopathie pour les troubles fonctionnels ;
- la sophrologie en gestion du stress ou de la fatigue ;
- l’acupuncture en complément d’un traitement ou pour accompagner un sevrage ;
- la réflexologie pour soulager des tensions diffuses.
Ce sont souvent des choix d’essai, qui deviennent des habitudes. Une séance, puis deux, puis une pratique installée. Non pas en remplacement du médecin traitant, mais en parallèle. Parce que l’un ne suffit pas toujours.
Témoignage :
Claire, 43 ans, agente RH dans une collectivité de l’Ouest, raconte :
« Je suis venue à la sophrologie un peu par hasard, après un épisode d’anxiété sévère. Je n’ai pas arrêté mon traitement, mais j’ai mieux dormi. J’ai surtout senti que je reprenais un peu le contrôle. C’est devenu un rendez-vous régulier. Et ma mutuelle en rembourse une partie. »

Quelles médecines alternatives sont prises en charge par les mutuelles ?
Ce que la Sécurité sociale ne rembourse pas
L’Assurance maladie ne prend pas en charge la majorité des médecines alternatives. Hormis quelques exceptions telles que l’acupuncture pratiquée par un médecin conventionné ou encore l’homéopathie sous conditions. Les consultations alternatives sont, par ailleurs, à la charge du patient.
Les conséquences :
- les patients assument l’intégralité des frais ;
- l’accès est conditionné au niveau de revenu ;
- les disparités se creusent selon les contrats souscrits.
Dans cette configuration, les complémentaires santé jouent un rôle pivot. Ce sont elles qui déterminent l’accessibilité effective de ces soins pour une large partie des assurés.
La médecine douce et Mutame & Plus
Mutame & Plus, mutuelle dédiée aux agents de la fonction publique territoriale, a intégré les médecines douces dans son offre de manière structurée. Son contrat Mutame Atout Santé Plus propose un forfait bien-être, disponible en plusieurs niveaux, avec des remboursements ciblés selon les pratiques.
Découvrez notre Mutame Atout Plus
Les disciplines régulièrement prises en charge ; ostéopathie, chiropractie, acupuncture, réflexologie et sophrologie.
Ces soins sont remboursés sur facture, dans la limite d’un forfait annuel défini par l’option choisie. En moyenne, ce forfait couvre de 2 à 5 séances par an, à condition que les praticiens soient certifiés ou agréés.
En pratique, cela suppose de vérifier trois éléments :
- la discipline est-elle incluse dans la grille des remboursements ?
- le praticien est-il reconnu (N° Adeli, certification professionnelle) ?
- la facture précise-t-elle bien la prestation ?
Cela n’est pas automatique, mais accessible. Mutame & Plus offre là un levier concret pour faire entrer le bien-être dans le champ de la santé prise en charge, sans dénaturer son modèle solidaire.
Comment bien choisir sa mutuelle pour inclure les soins de bien-être ?
Toutes les mutuelles ne se valent pas lorsqu’il s’agit de rembourser des médecines douces. Certains contrats n’en font même pas mention. D’autres proposent des forfaits bien-être, mais avec des plafonds si bas qu’ils en deviennent inopérants.Ainsi, avant de souscrire, il convient de vérifier plusieurs éléments essentiels.
Les critères à vérifier dans votre contrat santé
La lecture des conditions générales n’a rien d’accessoire. Elle permet d’identifier, sans ambiguïté :
- la présence d’un forfait annuel dédié aux médecines alternatives (avec mention explicite des pratiques couvertes) ;
- le montant remboursé par an, ainsi que le nombre de séances autorisées ;
- l’exigence de consulter un praticien agréé, souvent référencé par un numéro Adeli ou inscrit dans un annuaire professionnel reconnu.
Certaines mutuelles excluent des disciplines comme la kinésiologie ou la naturopathie. D’autres imposent une liste fermée de thérapeutes. Ce sont autant d’éléments à anticiper.
Les avantages des contrats labellisés comme ceux de Mutame & Plus
Chez Mutame & Plus, les contrats santé territoriaux sont labellisés, ce qui leur confère plusieurs bénéfices :
- participation financière de l’employeur (dans le cadre d’un contrat individuel labellisé) ;
- tarification familiale et intergénérationnelle, facilitant l’inclusion des ayants droit ;
- couverture adaptée aussi bien aux agents actifs qu’aux retraités, sans rupture à la sortie de la vie professionnelle.
Ces spécificités sont loin d’être anecdotiques. Elles garantissent une continuité de couverture et une certaine équité, y compris pour les familles modestes ou monoparentales.
Comment bénéficier du remboursement de vos soins bien-être ?
Une fois le bon contrat souscrit, la démarche de remboursement est simple. Toutefois, elle suppose de suivre certaines étapes précises :
- Vérifiez que votre contrat santé couvre bien les médecines alternatives mutuelles souhaitées (ostéopathie, sophrologie, etc.).
- Choisissez un praticien agréé ou reconnu, disposant des qualifications requises (N° Adeli, certification professionnelle).
- Demandez une facture détaillée, mentionnant clairement la discipline pratiquée, le nom du thérapeute et la date de la consultation.
- En cas de doute, contactez un conseiller Mutame & Plus, qui pourra vous orienter vers la formule la plus adaptée à vos besoins.
Dans la majorité des cas, le remboursement s’effectue en quelques jours, directement sur votre compte bancaire.
Une approche globale de votre santé est désormais possible avec Mutame & Plus
Longtemps considérées comme accessoires, les médecines douces trouvent aujourd’hui leur place dans les complémentaires santé les plus avancées. Elles ne sont plus réservées à une élite, ni cantonnées à des soins de confort. Grâce à des mutuelles engagées comme Mutame & Plus, ces pratiques deviennent accessibles, remboursées, et intégrées dans un véritable parcours de santé globale.
Vous êtes agent territorial, en activité ou à la retraite ? Vous souhaitez améliorer votre bien-être sans alourdir vos dépenses ? Contactez Mutame & Plus pour découvrir l’option santé qui vous correspond. Parce que prendre soin de soi ne devrait jamais être un luxe.